Dépôt du 4e rapport de l’IQRDJ

Dépôt du 4e rapport de l’IQRDJ

Un grand nombre de personnes s’étant vues imposer une P-38 avaient demandé de l’aide au service d’intervention de crise. C’est ce que révèle le plus récent rapport de l’IQRDJ, déposé hier.

 

Comment le gouvernement peut-il continuer de prétendre avoir besoin de renforcer la coercition envers les personnes vivant avec un trouble de santé mentale quand elles sont volontaires à recevoir des soins. Alors que la P-38 ne devrait être utilisée qu’en l’absence de consentement aux soins, il n’en est pas toujours le cas.
“ Plusieurs personnes premières concernées rapportent avoir elles-mêmes demandé de l’aide avant d’être placées sous garde, ce qui nourrit un sentiment d’incompréhension lorsque cette démarche proactive se transforme en hospitalisation sous contrainte “, peut-on lire dans le rapport.
Le travail de l’IQRDJ met en lumière les besoins pour des services en santé mentale mieux adaptés pour les personnes qui demandent de l’aide plutôt qu’une plus grande coercition par une réforme de la loi P-38.
Pour lire le rapport complet : 4e rapport de l’IQRDJ